Des retrouvailles pv Elena

Des retrouvailles

Alors que j’avais rangé la réserve il y a quelques jours bien des choses ont changé dans ma vie, un protecteur, ma fille avec, je me sentais bien et heureuse pour une fois, il fallait surtout que je vois ma fille, j’ai tant à lui dire.
On me demande aujourd’hui au lieu d’aller à la réception c’est de distribuer les costumes dans les loges car j’avais rangé la réserve donc je devais savoir ou été placé les costumes, je n’aime pas faire cela car généralement les gens du spectacle ne nous aimes pas trop et sont plutôt hautain.
C’est en soupirant que je commence mon travail, je vais de loge en loge distribuer les costumes en disant bonjour, déposer ceux-ci et repartant, je ne regardais même pas qui étais là, j’avais bien trop peur de me prendre des réflexions.
Je rentre dans une des dernières loges comme à mon habitude je dis bonjour pour laisser les costumes et repartir, quand j’entends une douce voix c’était ma fille.
- Oh Elena enfin te voila, comme je suis heureuse de te revoir.
Je lâche tout et vient la prendre dans mes bras, lui caressant les cheveux.
- Ma puce comme tu m’as manquée, tu vas bien ?

Codage par Libella sur Graphiorum@Elena Khalski

Des retrouvailles

J’étais en train de me préparer dans ma loge comme chaque soir pour le spectacle, je vessais mon petit rituel, d'abord me coiffer, en me fessant mon chignon, depuis le temps que je le fessais j'avais attrapé le coup de main, mais je prenais le temps pour le faire, être sûr que tous mes cheveux soient bien laque et bien tenue, il ne faudrait pas que tous dégringolent pendant le spectacle, puis le maquillage, la pareille j’avais l'habitude, mais je prenais non temps, pour que cela soit bien fait, et cela me permettait aussi de me concentrer, et de rendre dans le beau de mon personnage, en ce moment nous jouons le lac des cygnes de Tchaikovsky, je joue le cygne blanc qui est le rôle majeur, il faut être très concentre car il y a beaucoup de techniques dans ses balais.

Une fois fini, il ne me restait plus qu’à m’habiller j’attendais que l’on vienne m’apporter mon costume, en attendant je commençais à m’échauffer pour ne pas me blaiser, je pensais à ma mère qui me manquait beaucoup, et je me demandais ce qu’elle pouvait faire en cet instant, je savais qu'elle était le pas loin mais je ne l’ai pas revue depuis que l’on nous a emmenés ici, j’aimais trop la revoir la serre dans mes bras, lui dire que je l’aime, et qu’elle m'a manqué, et j'aimerais qu’elle puisse me voir danser qu’elle voit le spectacle; car à chaque fois que je danse, je pense à elle et je danse pour elle, j’espère que tout va bien pour elle, et qu’ils ne lui ont pas fait de mal, car je seraient capables de les tuer si l'on touche à ma mère.
Je suis en train de lasser mes chaussons de danse, je suis dos à la porte quand j’entends quelqu’un ouvrir porte et dit bonjour, je reconnais cette voix, c'est celle de ma mère, j’ai les larmes aux yeux je me retourne.

Maman ?

Je me mets à pleurer de joie.

Moi aussi maman, tu m'as tellement manqué j’étais tellement inquiète de ne pas te voir

Elle me prend dans ses bras je la serre fort, mes larmes continuent à couler, Je suis si heureuse de la re voir, je ne veux plus la quitte.

Oui maman ça va, mais maintenant que je te voie ça va beaucoup mieux, et toi ça va. Ils ne t’ont pas fait de mal.

J’étais si heureuse que je n’ai même plus envie d’aller danse je voudrais rester avec elle toute la nuit.

Codage par Libella sur Graphiorum@Marya Khalski

Des retrouvailles

Je rangeais le costumes dans les vestiaires, je pensais à Lorenzo, je savais que ce soir une nouvelle fois je devais aller le voir mais surtout prévenir ma fille, je ne sais pas comment, j’ai peur de sa réaction qu’elle m’en veuille encore, j’espère qu’elle vient, j’ai bien une chance de la rencontrer ce soir mais je n’y crois pas jusqu'à ce que j’entende une petit voix que je connais très bien c’est elle, c’est elle. Je suis saute dans les bras, je sens ces cheveux, son parfum, comme elle m’a manquée.
Oui c’est bien moi ma puce enfin je te retrouve.
J’essuie de suite ces larmes, je ne désire pas voir ma fille pleurer.
J’étais inquiète aussi, je t’ai vue une fois t’entrainer, tu es si belle sur scène.
Lui dis au creux de l’oreille d’une voix douce et calme.
Je suis contente que tu ailles bien ma puce, ils m’ont torturée mais ça va mieux, je travail à la réception maintenant,
En lui caressant les chevaux et son dos, un gros câlin mais je savais que je ne devais pas m’attarder.
Ecoute bien ma chérie, j’espère que tu ne vas pas m’en vouloir en plus que d’être ici, il y a un homme dénommé Lorenzo, il est très puissant, ils nous a achetés toutes les deux, pour avoir une protection mais pas tous, pour éviter à toi et moi d’avoir d’autres clients même si tu ne crains rien, tu comprends ce que je te dis ?
Dis je un peu fermement mais il fallait qu’elle le sache de suite, je ne pouvais lui cacher un truc pareil.

Codage par Libella sur Graphiorum@Elena Khalski

Des retrouvailles

J’étais toujours dans les bras de ma mère, elle me caressait les cheveux, et me séchait mes larmes, j’étais si contre qu’elle soit là, et tous allaient bien maintenant mais je savais que cela n’allait par durée car je devais aller travailler, il valait que j’aille aller danser, pour le spectacle de ce soir, donc je profitais de cet instant, car je savais qu’il y aurait surement d'autres moments comme celui-ci, mais je ne savais pas si cela pourrait se re faire de sitôt, donc j’en profitais un maximum.

Cela m’attriste de savoir que ma mère c’était aussi inquiet pour moi, mais je mis à sourire quand le me dit a l’oreille qu’elle m’avait vue danse, et qu’elle me trouvait belle sur scène, j’étais heureuse qu’elle est puée me voir.

je danse à chaque fois pour toi maman, car j’espérais à chaque fois que tu puisses me voie danser.

Je retrouvais un semblant de joie, et je lui souriais, mes larmes avaient fini de couler.

Je suis contente de voir que tu vas bien aussi maman, à toi aussi il tond torturer. Mais qu’elle bande de salle perverse, ah tu es au poste de la réception.
Ce n’est pas trop difficile de reste toute la journée debout comme ça.

Maintenant je serais où te retrouver, et j’essayais de venir te voir entre deux entraiment.

Je lui re fit un grand sourire.

Ma mère venait de prendre un ton vraiment solennelle, et grave je l’écoutais m’explique la nouvelle situation dans là qu’elle nous étions.


Je m’assis d un coup sur une chaise en l’entend m’explique qu’un homme riche nous avais acheté.

Je secouai la tête pour lui dire que j’avais bien compris la situation j’étais hébété, et en colère contre cette homme qui nous avais emmené ici


Mais c’était vraiment obliger . On en pouvait essayer de fuir ce l'hôtel . Et cela va durer combien de temps ? Et que va-t-il faire de nous ?


J’avais tellement de questions qui me venaient en tête.

Codage par Libella sur Graphiorum@Marya Khalski

Des retrouvailles

J’ai dans mes bras ma fille chérie, ma tendre puce, mon bébé, je ne pleurais pas je me retenais pour ne pas la brusquer et la rendre plus triste encore, cela ne servirais à rien, nous avons nos retrouvailles c’était déjà bien, j’en étais heureuse et surtout qu’elle aille bien.
Je le sais ma puce, comme c’est gentil, digne fille de ta mère, il faut que tu restes forte ma puce, tu m’entends ici pas de faiblesse ou tu retourneras dans les geôles.
Elle retrouvait un peu le sourire ce qui me contentais.
Oui mais ça va ne t’inquiète pas pour moi, je vais bien et toi aussi ce qui compte aujourd’hui et tout se passera bien maintenant je peux te l’assurer, tu as confiance en moi n’est ce pas ? Oui je suis à la réception c’est très dur de tenir toute la journée voir la nuit, avec les talons mais c’est comme ça, je n’ai pas le choix et je préfère ça que d’être ailleurs je t’assure.
En lui rendant son sourire, cela me faisait plaisir de la voir rayonner et ne pas être blanche comme la plus part, j’avais réussie à sauver ma fille de tous ça sauf, que pour la mafia Italienne, je n’ai pas eu le choix hélas, j’espère qu’elle ne m’en voudra pas. Je sens qu’elle a mille questions, je ne sais comment lui répondre et lui dire les choses. Je prends son visage entre mes mains.
Ma fille, nous a sommes protégé par lui, il n’y aura que lui, seul et unique client, ils nous choisissent limite sur catalogue et il a du voir que j’avais une fille, il nous a prise toutes les deux, c’est comme ça, il me protège, je n’ai plus d’autres clients, et j’en suis soulagée, il ne me fait pas de mal tant que l’on reste tranquille je t’assure. Tu verras quand il fera demandée, je ne sais pas ce qu’il veut de toi, il ne me la pas vraiment dit.

Codage par Libella sur Graphiorum@Elena Khalski

Des retrouvailles

Je suis dans les bras de ma mère, elle me donne des conseils, et me rassure j’ai bien conscience qu’elle a totalement raison, je dois être forte et ne jamais montrée mes faiblesses, sinon d’autre personne pourrait en profiter, comme les personnes qui sont au-dessus de moi et même les autres filles.

De rien maman.

Je lui dis en lui faisant un grand sourire, et je rajoute.

Et comme on dit telle mère telle fille.

Lui dit d’un ton enjouer, puis je re prend mon sérieux.

Ne t’inquiète pas je vais reste forte et ne montre à personnes mes faiblesses ni à nos supérieures ni aux autres filles qui travaillent avec nous.

C’est ce qui compte en effet que tous aillent bien pour nous, tu as déjà vécu des choses très dure, je le sais, et tu as réussi à t’en sortird'ailleur je suis fiere de toi, et que  ma également sortir de là, et je t en remercie,  car je me doute bien que le fait que tu m'es l’école du Bolchoï était aussi pour me protéger, je ne t’en ai jamais parlé mais je me doute bien des raisons pour le qu’elles tu la fais, donc effectivement du moment que nous sommes en semble tout va bien se passe pour nous maintenait, oui maman je te fais confiance.

Je la re serre dans mes bras encore plus fort.

Oui je te comprends qu’être à l’accueil est mieux que d’être dans une chambre avec des clients, d’ailleurs je plains les filles qui fonde ça.

Je la regarde, elle me sourit cela me fait tellement plaisir de l’avoir retrouvé, même si cette histoire de protecteur ne me rassure pas vraiment, je l’écoute  me parler de lui et m’expliquer les choses, cela me choque de savoir qu’ils nous choisissent sur le catalogue comme de la vulgaire barbaque, mais de toute façon c’est comme sa il n'y a rien à faire.

Mais il te force coucher avec lui?

Est-ce qu’il va me demander de coucher avec lui ? Que va-t-il faire de nous ?  Nous allons devoir reste toute notre vie avec lui  et ici.

J’avais encore des questions sans réponse, quoique je me doutasse de sa réponse, et cela me rendait très triste, de savoir que nous allions devoir passer tout le reste de notre vie ici, à moins que ce fameux client nous emmène avec lui, car il devait bien avoir un chez lui, avec une maison ou un appartement quelque part.